Perte de poids : la méthode imparable pour en finir avec les kilos émotionnels

Et pourtant, selon le psychiatre Stéphane Clerget qui a publié l’ouvrage Les kilos émotionnels, Comment s’en libérer (aux éditions Albin Michel), les kilos émotionnels ne sont pas forcément le résultat de vos comportements. Ils peuvent découler d’un héritage familial.

Comment se débarasser des kilos émotionnels ?

Et si ces comportements alimentaires impulsifs étaient alors ancrés depuis notre plus jeune âge dans notre inconscient ? Si vous étiez piégés comme un hamster dans sa roue, sans aucun moyen d’en sortir ? Que faire contre les kilos émotionnels ? Vous avez essayé tous les régimes. Au début, vous arrivez à vous y tenir puis les impératifs imposés par la vie quotidienne prennent le dessus, fatalement. Encore une fois, la culpabilité est à son maximum. Pourquoi vos amies y parviennent et pas vous ? Vous perdez confiance.

Vous vous sentez dépassés, à bout de nerfs. Votre reflet dans le miroir vous est insupportable. Et pourtant, vous êtes de bonne volonté.Vous vous inscrivez au nouveau cours proposé dans votre quartier, puis vous abandonnez, manque de temps et d’énergie. Vous n’êtes pas seuls dans ce combat contre les kilos émotionnels. Un désordre qui touche davantage les femmes.

Bonne nouvelle, ce n’est pas une fatalité !

J’ai un petit scoop pour vous : ce n’est pas le nouveau régime à la mode qui vous viendra en aide. Vous en avez déjà assez fait, vous avez déjà assez donné. Il est temps de tenter une autre approche pour vous libérer de vos kilos émotionnels. Vous savez, ce poids qui s’accumule au fil des années… et au fil des drames. Une rupture, un deuil, un échec professionnel, un climat de stress… vous y êtes confrontés tous les jours. L’alimentation est votre seule échappatoire.

Comment le stress fait grossir ?

Selon une étude parue en avril 2015 dont les résultats ont été dévoilés dans le journal scientifique Appetite, le fait de se tourner vers des aliments dits « doudous » pour des raisons psychiques augmenterait notre indice de masse corporelle (IMC). Une autre étude dévoilée en 2011 dans le Journal of Clinical Investigation (appelée Fatty acid-induced gut-brain signaling attenuates neural and behavioral effects of sad emotion in humans) indique également que nous ne cherchons pas le goût sucré ou salé des aliments que nous consommons pour des raisons émotionnelles… mais sa richesse en graisse. Vous acquiescez ?

C’est vrai, qui n’a jamais commandé un fast-food après une peine de cœur ? Mais ne culpabilisez pas. Déjà que votre santé mentale s’est dégradée ces derniers temps. Votre entourage ne vous comprend pas. D’ailleurs, vous avez du mal à rencontrer des personnes en dehors du travail et vous vous sentez certes accompagnés, mais seuls. Dans les transports en commun, vous rêvez d’un autre quotidien, sans stress et sans cette omniprésence de votre smartphone dont le moindre bruit vous hérisse désormais le poil. Vous vous sentez prisonniers de votre routine quotidienne. Vous avez besoin d’aide.

Avec la Villa Oya, dites adieu aux kilos émotionnels

Je ne vous comprends que trop bien. Pour ceux qui ne me connaîtraient pas encore, je suis Alexandra. J’ai créé pour vous la Villa Oya. Je suis une ancienne obèse et je sais à quel point les kilos émotionnels sont un combat au quotidien, surtout pour les personnes occupant des postes à hautes responsabilités. J’ai travaillé moi-même pour un grand groupe financier. Et ce, pendant plusieurs années. Le stress et la pression, je ne connais que trop bien. Il est temps de relâcher la pression.Vous méritez de vous faire ce cadeau : celui de prendre du temps pour vous.

La villa Oya, c’est la promesse de réduire votre niveau de stress. Un mal-être psychique qui peut faire le lit des kilos émotionnels. Pour vous ressourcer, je vous propose des séjours bien-être haut de gamme. Dans un objectif de perte de poids, vous avez besoin de vider votre esprit. C’est ce que permettent nos séjours. Nos événements sportifs se déroulent dans des cadres idylliques, dans le sud de la France ou au Maroc. Vous participerez à des ateliers ludiques de sport, de méditation et de cuisine. Faire confiance à la Villa Oya, c’est la garantie de vivre une expérience qui vous correspond.

 C’est quoi mon poids idéal

Pour trouver votre poids idéal ou poids santé ou poids de forme, (qui est souvent très différent de celui qu’on s’imagine),
Il n’y pas besoin de faire des calculs du type taille divisée par le poids au carré.
C’est pourtant ce qu’on m’a appris à la base avec ce fameux IMC que je déteste
J’entends beaucoup des phrases du type : « Je fais 1,69m donc il faut que fasse 59 kg, non ?
Pas du tout.
La notion de set point est plus réaliste :
C’est notre poids naturel, génétique dont on a besoin là, maintenant.
Il changera selon votre parcours de vie.
Il y a le métabolisme de base qui rentre en compte c’est sûr mais il y a aussi le poids émotionnel, un poids dont on a aussi besoin parfois pour se protéger, pour encaisser une situation.
Le poids idéal c’est un poids où on se sent aussi bien dans sa tête que dans son corps.
Si vous faites enfin les 50kg dont vous rêviez mais que vous vous sentez en restriction constamment, que vous n’éprouvez plus de plaisir à manger️, c’est que ce n’est pas votre poids idéal…

J’essaie, avec mes patients en discutant avec eux de comprendre pourquoi ce souhait de perte de poids
Pour ressembler à des standards de beauté, parce que le médecin a dit que l’IMC était trop élevé, parce qu’on pense qu’on s’aimera plus une fois que le poids sera plus bas…
Avec honnêteté, je ne m’engage jamais sur une perte de poids précise en consultation.
En améliorant ️le choix des aliments que l’on consomme, ️la relation à l’alimentation, ️les quantités que l’on mange, il serait logique qu’effectivement le poids diminue, mais pas toujours…

Article écrit par MARIE CHARLOTTE, diététicienne, www.mcdieteticienne.com

Lâchez-moi cette balance !

Se peser régulièrement, c’est prouvé scientifiquement, c’est contre-productif !
Se peser 1 à 2 fois par mois est largement suffisant si vous voulez surveiller votre poids.

Non, pas plus!

“Oui mais me peser me motive !”

C’est vrai au début d’un suivi peut être. Parce que la perte de poids est souvent plus facile au début. Et après ? Les semaines où le poids stagne ou augmente un peu, il se passe quoi ?

Vous avez le moral dans les chaussettes !

“Je suis nul(le), je n’y arriverai jamais, je ne suis pas capable…”

Souvent ce que je demande aux patients c’est : « Qu’est-ce que vous gagnez à améliorer votre alimentation ? » Plutôt que : « Alors qu’est-ce que vous avez perdu cette semaine ? « 
Les réponses sont beaucoup plus positives et permettent de garder la pêche et la motivation sur le long terme.
« Re cuisiner avec plaisir, avec créativité »
« Manger à satiété et respecter son bidou et sa digestion »
« Re découvrir des saveurs oubliées, prendre vraiment plaisir à déguster chaque bouchée »
« Avoir des repas plus apaisés en famille, redécouvrir le plaisir de ce moment de partage »
« Prendre soin de sa santé, de sa vitalité, retrouver son énergie »
« Prendre confiance en soi, avoir de l’estime pour soi »

Alors par pitié, rangez-moi cet engin de torture !!!

Article écrit par MARIE CHARLOTTE, diététicienne, www.mcdieteticienne.com

Changer ses habitudes c’est facile, les garder un peu moins.
Souvent les personnes qui veulent changer leurs habitudes alimentaires, changent tout d’un coup, passent d’un extrême à un autre.
Je déconseille fortement à quelqu’un qui ne mange jamais de légumes, souvent beaucoup de produits industriels, en 5 min dans le canapé devant la télé de changer toutes ses habitudes.

“Mais pourquoi ?”, me diriez-vous ?

Par expérience je dirais qu’il vaut mieux se fixer 2 ou 3 objectifs puis s’ils sont atteints plusieurs semaines, de façon de plus en plus naturelle, alors on peut s’en fixer d’autres et ainsi de suite.

Exemple pour cette personne « extrême »

Je mange des légumes au moins une fois par jour, même en petite quantité.
J’essaie de manger en 10-15 minutes plutôt que 5 minutes, j’essaie de mâcher un peu plus.

Au bout de quelques semaines je vois que ces bonnes habitudes perdurent, je peux m’en fixer d’autres.
Je cuisine maison au moins un jour sur deux, plutôt que pas du tout.
Au lieu de manger une pizza entière, j’en mange un demi ou les deux tiers.

Et ainsi de suite…

Article écrit par MARIE CHARLOTTE, diététicienne, www.mcdieteticienne.com